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  • : Je suis divorcé et sur la route toute la semaine. Il y a longtemps que j'ai découvert qu'il était possible de rencontrer des femmes pour un soir ou plus. Voici le récits de mes rencontres et pourquoi pas les votres. wokidoki@free.fr
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Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 10:44

Ce que j’aime dans la rencontre, c’est deux choses. La première, c’est le premier instant. Ce moment précis où l’un et l’autre on se sent comme attirer. Il ne se passe ensuite rien dans la plus part des cas mais ce premier contact laisse entrevoir une foule de chose que seul un cerveau sans doute un peu tordu comme le mien peut imaginer.

Ce premier instant est souvent un regard. Hier, dans ce pub, j’étais là pour passer un moment avec des collègues. Pas de plan drague juste un moment plaisir pour décompresser. Il faut dire que pour nous, cette période de l’année est la pire. Nous n’avons pas le temps de souffler. Toujours est-il qu’alors que nous faisions beaucoup de bruit par des blagues d’un goût douteux, une femme brune aux cheveux courts passe devant nous. Habillée d’un top noir laissant comprendre la beauté de ses seins, une jupe noir courte, vraiment courte, laissant quand à elle comprendre que qu’elle porte des Dim Up. Ses jambes m’ont imnotisé. Elles sont fines et sa démarche fait tout pour ne pas l’accentuer.

Je me sens obliger d’aller dans la même direction qu’elle en donnant pour explication à mes collègues une tournée générale. Une fois au bar, je suis dans mon élément. La commande passée, je me tourne vers cette belle brune. Là, ce moment magique est devant moi. Nos regards se croisent, le sourire naît sur nos visages, elle penche doucement la tête, je m’avance délicatement. Mes premières phrases sont douces et banales. Je me présente et la félicite pour sa tenue. Il faut dire qu’elle est vraiment magnifique. Ce premier instant passé, je lui offre un verre, demande au serveur de servir la tournée à mes collègues et je commence à découvrir Flavie. Rien de bien passionnant sur sa vie et même si son physique est magnifique, Flavie est un peu cruche. Elle n’est pas idiote, elle a simplement des centres d’intérêts un peu éloignés des miens. A une exception. En quelques minutes, nous ne sommes plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Notre discussion est désormais bien plus personnel et en quelques secondes de regard de braise, le premier baisé fait son apparition. Il est doux comme celui de deux amoureux juvéniles. C’est chaud. Je pose ma main sur cette cuise qui me fait tant envie. Elle est ferme et je sens que Flavie est torturée entre l’envie de s’approcher encore plus et de repousser ma main. Mais je sens comme un petit tremblement sous ma main. Ce petit tremblement qui n’est autre que le deuxième instant. Ce second moment où quelque chose se passe. Ce moment où je sens que ce que j’ai pu imaginer peut se réaliser.

La suite de la soirée n’est pas très glamour. Nous sommes descendu dans les toilettes. Nous avons juste le temps de rentrer dans une cabine pour que je lui relève sa jupe, passe ma main entre les cuisses pour y faire pénétrer deux de mes doigts. Le cri est aigu mais le plaisir est palpable. Elle n’est pas en reste et caresse au travers de mon pantalon ma queue. Je bande comme un taureau et rapidement je passe un préservatif et la prend avec violence, une main pour lui malaxer un sein et l’autre pour maintenir le rythme en lui tenant la taille. Flavie n’est pas vraiment discrète. Elle crie fort et soyons honnête, cela me donne de l’entrain.

J’ai jouis bien après elle. Elle m’a souri, embrassé et elle a finit par se poser, « je te rejoins au bar ». Nous avons échangé nos numéros et je suis rentré à l’hôtel.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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Dimanche 10 décembre 7 10 /12 /Déc 01:40

Natacha, un bureau, une jupe…

 

Je sors d’une réunion d’un club. En deux mots, il s’agit de réunion où l’on rencontre d’autres professionnels. Le but est de rencontrer de futurs clients ou fournisseurs. Disons que c’est du speed dating pro. Assez efficace dans son ensemble.

Il faut bien reconnaître que j’ai été surpris d’y retrouver une de mes anciennes collaboratrices, Natacha. Inutile de se le cacher, c’est une belle slave. Grande, plus que moi, même sans ses talons immenses, blonde feu, yeux bleues, un visage d’ange, une belle petite poitrine, une paire de jambes immenses et des petites fesses bien hautes. Je ne suis pas fana de ce type de femme. Belle voir très belle mais peu de charme. Attirante mais peu enivrante. Elle est belle mais j’ai toujours eu du mal à imaginer une relation avec ce type de femme. Je dois devenir difficile ou très con.

Toujours est-il que nous avons travaillé ensemble. Pendant 2 ans elle a été une de mes chefs d’équipe. Ce n’était vraiment pas la meilleur et lorsqu’elle m’a annoncé son départ, je l’ai pris presque avec joie. Nous nous amusions à jouer du regard tous les deux. Nous nous amusions à nous effleurer. Nous nous amusions à finir nos appels téléphoniques par des silences, par des formules qui pouvaient laisser croire bien des choses. Mais tout cela sans jamais le consommer. C’était un vrai jeu. A cette époque, j’avais un bureau sur Paris. Tous les lundis, j’étais là bas et je voyais à tour de rôle mes chefs d’équipe. Cela durait des heures et pouvait finir très tard. Pour le départ de Natacha, nous avions prévu de finir, lors de son dernier lundi, par une petite réunion pour précéder son départ, histoire de faire le tour de ses dossiers. C’est vers que nous nous sommes retrouvé dans mon bureau. Un bureau bien sommaire. Une pièce d’environ 4m par 4m, une armoire, un bureau et une petite table de réunion avec 4 chaises. Une fois à cette table de réunion, elle dispose l’ensemble de ses dossiers en cours et nous commençons à faire le tour. Viens un dossier qui me tient à cœur, celui d’un ami. Là, les choses ne sont pas au beau fixe. Elle part dans des explications vaseuses pour expliquer son retard dans ce dossier. Je suis clairement excéder et de savoir qu’elle s’en fiche de part son départ me met hors de moi. Ma colère gronde et je dois avouer que je ne suis pas des plus agréable et délicat une fois dans cet état. Elle en joue. Elle me regarde avec ses grands yeux, me sourit, joue avec son stylo, le fait glisser délicatement entre ses seins dans son décolleté. Alors que je suis en pleine colère, je lâche : « j’ai envie de te claquer ! ». Cette phrase est plus que anodine sur le coup. Phrase jetée pour exprimer mon énervement mais qui eu le mérite d’attirer l’attention de Natacha : « que dis tu ? ». « Arrête je suis énervé ! Je ne rigole pas ! ». « Je ne rigole pas, il faut me punir ! ». La voir se lever, se planter à ma droite en posant les mains sur la table en relevant son fessier était sans équivoque. « Montre moi que tu es encore mon boss ! ». Je ne sais pas trop comment réagir. Oui, je suis plutôt enclin à lui donner ce qu’elle demande. Pourquoi pas. Je relève sa jupe de la main droite et découvre son string. De la main gauche, je feuillette le dossier devant moi. Ma main vient à la rencontre de sa fesse droite. La claque est douce et me permet de découvrir la douceur de sa fesse. La seconde plus forte, accompagné de « c’est pas bien de ne pas faire son job ! ». La claque suivante est encore plus forte. Le son est claire : « tu dois faire ce que je te dis ! ». Je me lève, me pose derrière elle. De ma main gauche je lui tiens le fessier, la main droite claque encore plus fort, moins que la suivante ou celle d’après. Sa fesse est rouge. Chacune des dernières fut commentés par des petits cris. Je prends un grand plaisir à caresser cette fesse. Elle ne dit rien mais elle se dandine devant moi. Je change de fesse. Mais le rythme est rapide. Je lui claque rapidement, fort. Elle crie. J’aime la sensation de force, le fait de lui tirer des cris, j’aime cette sensation de pouvoir consommé, j’aime la sentir soumise. J’aime la sentir à moi sans histoire de sexe. J’aime la sentir soumise et accepter cette fessée par plaisir. Ses deux fesses sont rouges sang et je viens me rassoire. Je l’a regarde. Elle est immobile, elle attend un signal. Je lui donne de la main. Elle sort de mon bureau.

Nous n’avons jamais reparlé de cela. Mais nos regards sont chauds mais je garde ce souvenir. Bien meilleur.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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Samedi 2 décembre 6 02 /12 /Déc 02:39

De passage à Paris pour la nuit. Je n’aime pas trop cette ville. Je crois l’avoir déjà dit. Trop grosse, trop de bruit pour pas grand-chose. Comment aimer vivre dans un environnement pareil. Très jeune, oui j’ai aimé. Je me suis laisser prendre dans ce tourbillon. Dents longues et volonté de fer, j’ai cherché dans tous les endroits du jour et de la nuit amitié, amour, sexe ou plus. J’ai trouvé un amour désormais disparu et souvent du sexe. Pour le reste, je chercherais encore si j’étais resté ! Assez drôle, tous les amis(es) qui comme moi sont montés à la capital pour bosser, nous sommes presque tous retournés en province voir à l’étranger. Comme si l’appel était passé et que désormais il fallait revenir à la vie.

Tous sauf Gaëlle. Gaëlle est la petite sœur d’un de mes amis. Elle est restée à Paris, elle se plait dans cette ville.

Pour qu’elle ne soit pas seule à son arrivée à Paris et pour faire « plaisir » à son grand frère, elle a squatté chez moi trois mois. Son diplôme de commerce en poche, elle avait décroché un job dans une world compagny et elle savait ce qu’elle voulait, bosser pour réussir sa vie pro.

Comme tous les jeunes cadres qui se respectent, j’avais un appartement 2 pièces à Neuilly sur Seine du coté des hippodromes. On va tout de suite mettre les choses au point. 2 pièces pour 20 m² ce qui veut dire des pièces ridicules, une salle de bain en timbre poste et au 4ème sans ascenseur et ce quartier, pourtant ultra réputé, n’a pas le moindre commerce à moins de 20 minutes à pied ! Pour un montant tellement hallucinant que je n’ose le dire. Mais le smic actuel ne suffirait pas ! Mais bon, j’étais comme mes camarades dans le « bon » quartier et pas très loin de mon job.  Gaëlle, elle était moins loin de son job que moi. On se partageait ce petit appart en attendant que mademoiselle se cherche le sien. Les situations entre deux adultes en âge de se reproduire qui partagent un espace si réduit sont légions. Salle de bain, passages nocturnes aux toilettes, rencontres avec partenaires, appels téléphoniques des mères respectives et dans son cas de son frère.

Mais ce qui devait arriver est arrivé. Un soir que nous regardions la télé, sans trop savoir comment, elle s’est collé à moi, je l’ai caresser, elle m’a embrassé, je lui ai fait l’amour pour la première fois. Je répartis les rôles mais une fois encore, il s’agit là de deux adultes consentants. Cela s’est répété jusqu’à ma rencontre avec ma femme quelques années plus tard.

Rien de bien exceptionnel dans la forme sauf que Gaëlle adore les endroits insolites. Je passe les parkings, ascenseurs, escaliers, toilettes publics, ruelles, portes cochères, aires désertes d’autoroutes A5. Mais ce soir, elle m’a réservé le pire de tout. Après un dîner rapide chez le japonais à la mode, je me dois de monter dans son auto. Cela a toujours été un supplice. Elle conduit sa voiture comme sa vie, comme une dingue. En quelques minutes, nous voilà à deux pas des Champs Elysées devant un hôtel. « Viens j’ai réservé ». La chambre est spacieuse, le lit est immense, la salle de bain aussi grande que mon ancienne appart de Neuilly et le balcon doit bien faire 30m². C’est bien sur ce balcon qu’elle m’entraîne. Je ne suis pas étonné en regardant la vue. Nous sommes dans l’angle du bâtiment, vu sur l’Arc de Triomphe. Bien sur, les bâtiments d’en face ont également une belle vue sur ce balcon. Cela ne gène pas trop. Elle me colle contre la rambarde, enlève son pull et sa jupe. Elle n’a aucun sous vêtement et ce malgré le froid. Elle a seulement ses bas. Elle s’agenouille devant moi, sort ma queue et commence à me sucer. Que l’on se rassure, je bande déjà comme un taureau. C’est ce qui me fait toujours drôle, je suis en plein Paris, il doit y avoir 1000 fenêtres ayant vu sur ce balcon, mais je ne suis pas gêné. Il est certain que vers il doit y avoir des personnes qui passent devant leurs fenêtres et qui ont remarqué cette magnifique femme, blonde aux cheveux longs qui me suce sans aucun complexe. La fellation  est bonne mais j’attends le moment fort de lui rendre la pareille. Je coupe court à cette fellation. Je pose enfin les fesses de ma partenaire sur cette rambarde. Mes lèvres courent sur son cou, ses seins, son ventre. Puis avec une immense douceur, une immense lenteur je fais parcourir ma langue sur son clitoris. Avec tendresse, je prends plaisir à noyer sa chatte de caresses. Si le froid fait pointer ses seins, mes caresses l’active. Elle me tient par les cheveux, me maintient en place. A l’arrivée de mes doigts dans sa chatte,  elle ne tarde pas à me relever. Préservatif en place, je ne résiste pas à la pénétrer instantanément. Brutal, rapide, à la recherche de mon plaisir, nous avons jouis ensemble plus par l’endroit que par le reste. Mais cela fut bon.

Pour finir la nuit, nuis avons tout même utilisé à deux reprises cette salle de bain et le lit n’a pas servit que pour dormir.

Il est des rencontres dont on se souvient plus par le lieu que par la relation, Gaëlle est bien de celle là.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 00:18

Ce soir, je dîne avec mon amie Ange. Nous nous connaissons depuis l’âge de 10 ans. Nous habitions le même quartier, allions dans la même école. Nous n’avions jamais eu d’histoire ensemble. A 14 ans, elle a rencontré celui qui est devenu sont mari par la suite. Elle est restée mariée 10 ans avant de s’apercevoir que ses cornes étaient plus grandes que son amour propre. Elle est venue habiter à la maison quelques mois, le temps de reprendre pied. Ce qui devait arriver est arrivé. Ce n’est pas un souvenir mémorable. Trop d’empressement, trop d’envies contenues durant toutes ses années et l’envie de comparer. Comparer avec sa mère.

 

 

Alors que j’avais 19 ans, je devais réviser pour mes examens. Les parents d’Ange avaient une maison de campagne à l’écart d’un village. Un vrai calme total et depuis le bac, j’avais pris l’habitude de réviser dans cette maison où tout le confort et de quoi se divertir était là : piscine, billard, flipper, petit sauna et un baby foot. La mère de Ange, une belle femme n’ayant pas encore atteint les 40 ans à ce moment là, n’était pas très grande, châtains très clairs bouclées et le corps d’une femme qui passe sa vie à la salle de sport, fine et musclée. Un beau visage pour rehausser le tout. Les bonnes blagues de gamins avaient été nombreuses durant très longtemps. Pour superviser les travaux d’été des jardiniers, elle décida de passer quelques jours avec moi. Ce n’était pas pour me gêner. Je cherchais le calme et le silence pour réviser mais un peu de compagnie le soir et le matin n’était pas de trop.

 

 

Le premier soir, n’ayant pas eu le temps de faire des courses, nous avons dîné au petit restaurant du coin. Le vin coula à flot et nous sommes rentré à pied. Sur le chemin, les allusions de cette femme n’étaient pas très claires. Elle me demandait si j’avais une amie et comment je la trouvais. Un peu jeune pour comprendre. Le vin n’était pas pour aider.

 

 

La journée suivante fut composée de révisions et piscine. La journée fut chaude. Le soir venu, je suis parti faire un tour en moto histoire de sentir le vent me fouetter. Madame était partie faire des courses. A mon retour, une bonne odeur avait envahit la maison. Madame devant les fourneaux préparait un bon repas dont je ne pourrai dire la composition. Par contre, je me souviens bien, que ma cuisinière avait revêtu une tenue bien légère. Un haut de maillot de bain et un short plus que mini. Ses seins étaient ronds et lourds. Une forme parfaite et on pouvait en deviner la pointe sans aucune hésitation. Son short donnait une belle image de ses fesses. La musculature de son postérieure était sans faille. Aucun point de graisse, pas de cellulite, le ventre plat et musclé, les cuisses fines et des genoux magnifiques. Cette femme n’avait  rien à envier  beaucoup de jeunettes.

 

 

Le repas fut un long moment de silence, de paroles insignifiantes, de sourires et rires presque idiots. Pour clôturer cette soirée, elle me proposa de faire un baby foot. Cela m’avait surpris sur le moment. Je ne comprenais pas le but. Mais arriver à la salle de jeu, elle m’expliqua les règles de la partie. A chaque but qu’elle marquait j’ôtais un de mes vêtements, pour elle, tous les deux buts compte tenu du nombre de ses vêtements. Si la veille ses propos n’étaient pas très clairs pour moi. Là, plus de doute possible. Je n’ai jamais eu l’ombre d’une seconde d’hésitation. Devant ce magnifique Bonzzini, je bénissais les heures passées au café à jouer. Pour l’histoire, j’étais très en avance à l’école. Dans ces conditions, il est difficile de se faire accepter par des jeunes qui ont 3 voir 4 ans d’avance sur vous. Un des moyens pour ce faire et d’avoir des centres d’intérêt commun où l’on excelle, dans mon cas, se fut le baby foot. Au premier engagement, j’ai vite compris que la partie serait rapide. Elle ne jouait jamais. Un premier but en deux passes et un second en trois. Elle me regarde et sans dire mot ôte son short. La voici uniquement avec son maillot de bain. Le bas de celui-ci est encore plus sexe que le haut. Les triangles sont minis. Et on repart pour un nouveau but puis un second. Son regard est des plus coquin et ne peut laisser aucun doute sur la finalité de ce match. Sans me quitter des yeux, elle tire sur le cordon du haut de maillot de bain. Elle laisse apparaître une magnifique paire de seins énormes. J’ai rarement revu une autre paire de seins de cette taille sur une femme pas très grande. Rond, gros et se tenant parfaitement. Avec ce même regard, elle me demanda de continuer cette partie. Un puis deux buts. Aucun doute également que je voulais finir cette partie rapidement. Elle ne lâchât pas immédiatement les poignées du baby foot. Pour avoir le lot du gagnant, je fais le tour du baby. Je pose ma main sur le nœud du bas de son maillot de bain. Ses mains ne bougent pas des poignées.  Je tire simplement le cordon qui se défait immédiatement et ce maillot glisse au sol. J’ai une vu magnifique sur ce fessier. Il est rebondit et je viens de remarquer qu’il n’y a aucune marque de bronzage. Elle sourit, me regarde, lâche les poignées, pose ses mains sur les miennes. Elle m’embrasse pour la première fois. Ce baiser est chaud. Je mesure la différence entre une gosse de mon âge et une femme avec l’expérience. Son baiser est une invitation, un souhait voir une provocation. Elle emmène mes mains sur ses fesses. C’est une invitation. Une invitation à la douceur. Je remarque bien sur instantanément la fermeté de ses fesses. Mais le plus remarquable, c’est sa peau. Sa douceur, même avec toutes ses années, reste pour moi un point de référence. Jamais aucune femme n’a eu cette douceur. J’en rêve encore. C’est un magnifique rêve que la caresser. Je prends mon pied à chaque instant. Mais Madame souhaite tout une même un peu plus que des caresses et des baisers. Mon sweat, mon tee short, mon short, mon caleçon ne sont plus qu’un souvenir en quelques secondes. Les deux grandes portes vitrées de la salle font entrer un air frais de début juin. Mais cela est agréable. Elle m’entraîne rapidement sur le canapé. Je souviens encore de sa couleur, rouge. Je suis assis et je n’ai qu’à regarder et apprécier. Elle me couvre de baisers, de caresses, son corps, ses seins m’effleurent et bientôt elle commence à poser sa langue sur ma queue. Le geste n’est pas très décis. Elle me regarde comme si elle demande une confirmation. Je ne sais pas trop comment lui dire oui, oui je veux sentir ses lèvres. Alors ne trouvant rien, je pose ma main sur ses cheveux et doucement je l’invite à continuer. Elle ne se fait pas prier. Ses lèvres m’enveloppent, sa bouche m’avale, sa langue m’effleure. Le moment est magique parce que je l’ai fantasmé bien des fois et là, je vois cette magnifique femme me sucer. Me sucer et par ses regards, me promettre bien des choses. Et d’ailleurs, ses choses arrivent. Sans un mot, elle se pose sur moi. Un nouveau baiser, long et torride me déchaîne. Mon érection est sans nom et elle est assise dessus. Je ne peux m’empêcher de la lever et de tenter de la pénétrer. Mais elle ne l’entend pas ainsi. Elle se relève, présente sa chatte à ma bouche, me prend par les cheveux et me guide. Je commence par poser ma langue sur ce clitoris ainsi offert. Il est chaud et humide. Elle est totalement épilée et son clito est petit. Je m’enivre à promener ma langue, à en faire le tour, à jouer avec. Elle gémit et j’aime. J’aime aussi lui faire pénétrer rapidement un doigt, puis deux. Je joue entre mes doigts et ma langue. Elle gémit de plus belle. Il est bon de sentir gémir madame sous mes doigts et ma langue. J’ai l’impression de la posséder. Elle a longtemps profité de ce traitement puis elle se remplace sur moi en prenant soin de poser ma queue sur sa chatte. Elle joue avec en se caressant puis se pose et s’enfonce lentement mais complètement. Ma queue est complètement enfouit dans sa chatte. Je lis sur son visage son plaisir. Elle commence un va et vient de fou. Le rythme est sans limite sans avoir besoin de moi. Je n’ai qu’à malaxer cette magnifique paire de seins qui s’offrent à moi tout comme ses fesses. Mais ce tempo m’envoie rapidement par delà le ciel, par delà le plaisir. Plaisir partagé au sourire qu’elle m’offre. Elle est magnifique dans la jouissance.

 

 

Nous sommes resté sans bouger longtemps. Mais la nuit, les deux jours qui suivirent furent encore plus chauds. La piscine, le lit, le billard, la table, le transat de la piscine, le mur, la douche, la baignoire et le sauna. J’ai découvert avec elle, le plaisir pour uniquement le plaisir sous toutes ses formes. Car nous avons fait l’amour, pris du plaisir pour le plaisir mais aussi baisé. C’est la première femme qui me demanda de la baiser, de l’humilier, de la rabaisser, de la fessée. J’ai découvert beaucoup.

 

 

Nous sommes régulièrement revu par la suite. Si l’on ne parle pas d’une fois où je l’ai baisé dans sa cuisine, il ne sait plus jamais rien passé. Nous n’en avons jamais parlé.

 Ange, elle ne sait rien et ce soir, nous n'avons rien fait.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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Vendredi 24 novembre 5 24 /11 /Nov 02:43

Ainsi va la vie. Je pensais rentrer seul ce soir. Je pensais passer ma soirée devant mon portable à travailler. Rien ne se présentait de manière claire. Je suis dans une ville charmante de Normandie mais je ne viens jamais ici et donc je ne connais personne. Cela reste une petite ville et donc le soir, c’est plutôt calme. Pour ne pas aller directement dans ma chambre d’hôtel comme un sale malheureux, je décide d’aller boire un café après mon sandwich avalé. Je pense avoir déjà expliqué que je ne vais jamais au restaurant seul. C’est le cafard total. C’est de très loin le pire pour moi. Donc un casse-croûte et un  petit café dans une brasserie. Une bande de lycéens s’amuse à se moquer des profs derrière moi et devant moi, un groupe de filles plus âgées rient à pleins poumons. Au bar, les éternels piliers, une bière à la main refont le monde. Il est cette heure où les générations se croisent. Je ne suis pas amateur de ce type de bar, mais je comprends que certaine thèse de doctorat de sociologie est pour sujet ces endroits. Un complet de notre société, tout est réunis. J’ai régulièrement fait des rencontres et j’aime ces rencontres. Elles sont claires, non aucun lendemain et non qu’un seul but, prendre son pied.

La brune au bar, je ne l’ai pas remarqué tout de suite. Elle n’est visiblement pas accompagnée. Elle est clairement dans mes goûts. Je sais, mes goûts sont larges. Oui, c’est vrai. Je patiente un peu. Elle va aux toilettes quelques minutes plus tard. Elle est fine, son bustier sous son chemisier fin laisse deviner une belle poitrine, un jean taille basse met en valeur son fessier. Je me rapproche au moment où elle rejoint son siège. Je commande un autre café. La manœuvre est grossière. A sa place, je pense que je m’enverrai sur la lune. Loin s’en faut, elle me sourit. La conversation s’engage par les banalités d’usage. Son prénom, une première victoire. Cette Nadia est peu farouche, les banalités d’usage sont rapidement passées. Nous prenons notre deuxième café quand je finie par poser la question qui peut soit me rapporter une fin de conversation : « veux tu venir avec moi ce soir au calme ? ». Que l’on se rassure. J’ai eu régulièrement des non. Mais ne pas oser poser la question est une encore pire. Rentrer en se disant : « et si elle avait dit oui ? » est de loin le pire des calvaires. Autant poser la question, comme cela on est fixé et tout le monde sait à quoi s’en tenir.

Quelques minutes plus tard, nous voilà dans ma chambre d’hôtel. A y regarder de plus près, elle est vraiment belle. Un regard de braise qui trahit des origines espagnoles, une silhouette fort bien proportionnée et une chevelure qui tombe dans le dos pour ajouter un coté disons sauvage.

Le premier baiser est fougueux voir endiablé. Ses mains se baladent plus que les miennes. Elle prend visiblement plaisir à me caresser le dos, les fesses et régulièrement la queue. Elle ouvre les premiers boutons de son chemisier, prend ma tête entre ses mains et m’entraîne entre ses seins encore dans son bustier. Fou de désir, les derniers boutons ne résistent pas, le chemisier glisse et avant que je puisse jouer de même sur le bustier, elle me pousse sur le lit. Et là, je n’ai plus qu’à regarder. Elle commence par dégrafer son jean, bouton par bouton. Elle le fait descendre le long de ses jambes doucement en n’oubliant pas de se tourner de profil. La vision est magnifique. Son fessier peu couvert par son string est génial. Elle se redresse, me fait de nouveau face et dégrafe maintenant son bustier, en partant du bas. Doucement ses seins se dégagent, elles ne cherchent pas à les cacher. Ils sont énormes et magnifiques de tenus. Un pur bonheur. La voir s’approcher de moi me remplit de désir. Sa peau est douce et elle joue avec moi. Elle se place sur moi mais en prenant garde d’être suffisamment éloigné pour que je ne puisse pas poser mes lèvres sur sa peau. Elle défait mes boutons de chemise, se bat un peu avec mes boutons de manchettes, enlève ma chemise et s’attaque à mon pantalon qui se retrouve rapidement au sol. Nous voila tous les deux dans la même tenue. Elle commence par poser ses lèvres sur les miennes, le baiser mille fois plus chaud que notre premier. Il est désormais emplit de désirs sauvages. Elle pose ses lèvres sur mon torse, mes seins, mon ventre, lèche ma queue au travers de mon boxer et la caresse. Elle sort ma queue mais que pour mieux la caresser et me masturber. Alors que je joue à malaxer doucement ses merveilleux seins, tirer sur ses tétons qui pointent comme des aiguilles, je lui tend un préservatif qu’elle  s’empresse de me mettre en douceur et en terminant la manœuvre par un coup de langue sans suite. Je tente de la pousser sur le coté pour reprendre la direction et me voit éconduire. Elle se pose sur moi de nouveau, écarte simplement son string, se pose sur la pointe de ma queue. Sa chatte est humide à souhait. Chaude comme nos baisers. Elle glissent lentement, s’enfonce sans précipitation. Son visage s’ouvre, elle sourit. Son précédent calme disparaît. Son rythme se force. Elle accélère et pose ses mains sur moi. Elle cherche ma main et une fois trouvée la pose sur son sein. Elle me montre comment le malaxer avec force. Elle cherche mon autre main. La pose sur sa fesse et me montre également comment la malaxer avec force. Son regard est malicieux. Elle prend son pied à aller et venir sur ma queue. Elle prend plaisir à ce que je force mes caresses sur son sein et sa fesse. Voulant voir jusqu’où aller, je me risque une claque sur sa fesse. Le cri est beau, loin d’une réprimande ou d’une désapprobation, je sens plus un encouragement. Elle ne cherche pas le vache, jusque un peu de force, voir un fessée. J’aime la fessée. Moment magique. Je me pose un oreiller sous la tête pour la regarder mieux. J’en oublie presque son va et vient, même s’il est maintenant au plus profond. Bien installé, je peux voir ma queue qui la pénètre, son visage, ses seins. Mes deux mains sont sur ses fesses désormais. L’une claque une première fois. Elle en crie. La seconde suit immédiatement puis la troisième et une quatrième. Elle me sourit de plus belle et ne bouge plus. Ma question est surfaite mais je la sens nécessaire : « tu aimes ? ». Sa réponse n’est pas surfaite et rapide :  « oui, continue ». Je la pousse donc, la positionne à quatre pattes et commence pas la pénétrer. Mes pénétrations sont rapides. Rapidement je me retire, pose ma queue entre ses cuisses et commence une première fessée. Une simple claque, ni légère ni forte. La seconde, plus forte claque fort, mes doigts restent marqués. Le premier « encore » est prononcé. La fessée suivante est donc immédiate. Je l’accompagne d’une nouvelle pénétration, forte elle aussi. Et les fessées s’enchaînent autant que les pénétrations. Elle crie de jouissance. Elle jouit de mes pénétrations et de cette fessée sans mots. Juste un plaisir de main. Je jouis à mon tour. Je jouis dans son con. Il est chaud et je prends mon temps. Encore un moment rare d’intensité.

Nadia dort depuis deux heures à mes cotés. Je vais finir par la réveiller par des baisers.

Par Le voyageur - Publié dans : Le récit du jour
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